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Depuis l’invention de l’imprimerie, le problème de la classification des connaissance n’a fait que croître. Avec la numérisation, la quantité de données à classer produites par une population humaine plus nombreuse et surtout mieux éduquée atteint des sommets inédits.La mémoire de nos ordinateurs en témoigne : de k on est passés aux megs, aux gigs et maintenant aux tera. Pour les centres de données on parle de... peta et exa. Bientôt il manquera de lettres grecques pour parler de la quantité de données.
Toutes ces données accumulées doivent pouvoir être classées si on veut les mettre en rapport et les utiliser. Les classifications linéaires à la Deway, malgré leur subjectivité, pouvaient faire l’affaire à l’époque des connaissances sur papier, mais elles ont maintenant bien dépassé leurs limites.
Divers systèmes de classification ont été développés depuis; certains techniques, par heure ou structure, d'autres empiriques, comme celui de Google, basé au départ sur la quantité de liens référants entrants à propos d’un document, donc sur la reconnaissance d’usage, d’autres plus souples, basés aussi sur la réalité d’usage, mais plus orientés vers les contenus; ils considèrent leurs liens sémantiques, leurs liens de sens. Parmi ces systèmes, la classification facettée.
Depuis l’invention de l’imprimerie, le problème de la classification des connaissance n’a fait que croître. Avec la numérisation, la quantité de données à classer produites par une population humaine ...
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