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Ce vade-mecum est un outil d’aide à la gestion des collections de restes humains patrimonialisés dans les établissements publics français.

Il résulte des travaux développés par le « groupe de travail sur la problématique des restes humains dans les collections publiques » mis en place en 2014 par le ministère de la Culture et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Au-delà de la présentation d’un premier repérage national de ces collections sensibles, il tente de répondre à une demande d’accompagnement de la part des professionnels, en vue d’une valorisation accrue de ces collections soumises à des critères de dignité qui participent d’un développement des connaissances dans le respect de la diversité de tous les peuples et de ce qui fonde l’humanité.

Des études pluridisciplinaires qui analysent les mutations que connaît le paysage muséal depuis la Seconde Guerre mondiale, dans leurs dimensions institutionnelles, culturelles, communicationnelles, historiques et patrimoniales, et qui mettent au jour les tendances à l'oeuvre dans les institutions elles-mêmes. ©Electre 2020

Analyse des actions dites hors les murs menées par les musées, les centres de science et les centres d'art afin de conquérir une nouvelle audience et d'élargir les missions de ces institutions. En se fondant sur des exemples variés, les contributeurs interrogent l'évolution des politiques culturelles et des relations aux territoires ainsi qu'aux publics éloignés. ©Electre 2020

Se fondant sur une série d'entretiens et d'observations effectués dans les musées des Augustins et Saint-Raymond à Toulouse, les contributeurs dressent un panorama des dispositifs de médiation mis en place. Ils analysent leurs formes et leurs finalités dans leurs dimensions documentaire, numérique, artistique, communicationnelle mais aussi expérimentale, en tenant compte de la diversité du public.

Les bibliothèques, qu’elles soient universitaires ou territoriales, élargissent de plus en plus leurs propositions d’action culturelle à des expositions, intégrées dans la stratégie propre de la bibliothèque ou liées au territoire, sans que celles-ci soient en lien avec les ressources qu’elles offrent. En améliorant la médiation et la diffusion des contenus des expositions, elles visent ainsi à toucher de nouveaux publics qui ne sont pas toujours usagers du service.
Bibliographie commentée réalisée dans le cadre d’une formation organisée par l’Ocim “Médiation dans les espaces d’exposition” qui s’est tenue à Le Havre les 16 et 17 octobre 2018.

Les publics qui fréquentent les musées et les lieux de culture scientifique et technique ne sont pas toujours ceux qui en sont les plus proches géographiquement. La distance revêt alors une dimension symbolique. On observe des freins multiples pour passer le seuil des institutions culturelles : ils se construisent en fonction des parcours et des représentations de chacun. Aller à la rencontre de ces publics suppose alors une connaissance fine du territoire et de ces acteurs. Comment toucher et fidéliser le public de proximité ? Quelles barrières existent et comment les dépasser ? Dans quelle mesure s’appuyer sur les acteurs du territoire – relais associatifs, réseaux existants, communautés et collectifs – pour développer une relation avec les publics éloignés de l’institution ?
Bibliographie commentée réalisée dans le cadre d’une formation organisée par l’Ocim “Construire une offre pour et avec le public de proximité” qui s’est tenue en distanciel les 16 et 17 juin 2021.

Depuis plus de 10 ans, les nouvelles technologies modifient la manière de communiquer avec les publics. Ainsi, il est devenu impératif d’adapter son style d’écriture, aussi bien dans le fond que la forme, afin de faire passer le message en fonction des objectifs et publics ciblés mais surtout des types de médias et de supports numériques utilisés. Comment adapter son écriture en fonction des formats, des supports et des publics visés ? Quel style et quel ton faut-il privilégier afin de garantir un énoncé clair, un message lisible et compréhensible ? Comment adapter son style d’écriture au besoin de ses lecteurs et notamment pour prendre en compte les spécificités du numérique ? Quel ton adopter pour engager réellement les internautes et susciter des interactions avec les lecteurs ? Comment s’inspirer des méthodes du FALC pour écrire sur le web ?
Bibliographie commentée réalisée dans le cadre d’une formation organisée par l’Ocim “Écrire pour le web” qui s’est tenue en distanciel les 18 et 19 mai 2021.

La lumière est incontestablement un élément essentiel de la visite muséale. Et depuis une vingtaine d’années, les sources LED et les protocoles dynamiques lui ont ouvert un champ inédit d’expérience. Les auteurs reviennent sur une étude menée auprès des visiteurs de la Grande Galerie de l’Évolution pour appréhender les enjeux médiatiques de la lumière.

Extrait de "La lettre de l'OCIM", 194(mars-avril 2021), pp.32-37

Qu’il soit le fruit d’une opportunité, d’un choix, inscrit dans le cadre d’appels à projet régionaux ou nationaux, ou développé par des entreprises, le numérique est de plus en plus intégré dans les pratiques de médiation et d’exposition, sous des formes expérimentales ou plus traditionnelles. Mais quelles sont les questions à se poser avant d’intégrer ces outils numériques aux projets de médiation de son institution ? Comment définir un projet numérique de médiation ? Quels sont les moyens humains et financiers mobilisés en fonction des objectifs et des besoins ? Comment gérer les relations avec des prestataires tout en prenant en compte le processus de réalisation du projet et « l’après » conception (maintenance, actualisation, évolution du dispositif) ?
Bibliographie commentée réalisée dans le cadre d’une formation organisée par l’Ocim “Définir un projet numérique de médiation” qui s’est tenue en distanciel les 23 et 24 juin 2021.