Documents  roman : art | enregistrements trouvés : 9

Alexander Short, bibliothécaire new-yorkais, se met au service d'un bibliophile exentrique dans sa quête érudite d'un objet précieux : la Reine.
Dans cette enquête, il aura recours aux moyens dont il dispose à son travail, nous gratifiant au passage de descriptions précises de la bibliothèque, des missions et des tâches de ses collègues employés.

Une évocation rapide de la BnF se trouve en fin de la page 85 et au tout début de la page 86.

Une mise en abyme assez intéressante sur le travail de création littéraire et éditorial apparaît à partir de la fin du chapitre 59 (page 352) et dans tout le dernier chapitre, donnant tout son sens à la division du roman en 60 chapitres totalisant 360 pages, comme les 360 secondes d'une heure, qui comporte elle-même 60 minutes...

Enfin, on notera également :
- la façon originale dont l'auteur aura présenté ses remerciements, classés par thèmes selon la classification décimale Dewey (choix éclairci à la lecture du roman),
- la note finale concernant la typologie de caractères utilisée pour imprimer l'ouvrage,
- et quelques éclaircissements sur l'utilisation d'un engrenage de mécanique comme séparateur de sections à l'intérieur des chapitres.

Paula Modersohn-Becker voulait peindre et c’est tout. Elle était amie avec Rilke. Elle n’aimait pas tellement être mariée. Elle aimait le riz au lait, la compote de pommes, marcher dans la lande, Gauguin, Cézanne, les bains de mer, être nue au soleil, lire plutôt que gagner sa vie, et Paris. Elle voulait peut-être un enfant - sur ce point ses journaux et ses lettres sont ambigus. Elle a existé en vrai, de 1876 à 1907.

Durant l'été 1911, le portrait de la Joconde est dérobé. Géry Pieret prétend dans Paris-journal être le coupable et se vante d'autres vols similaires. Cet ancien secrétaire de Guillaume Apollinaire met le poète dans le pétrin, et davantage encore lorsqu'il prétend avoir vendu des oeuvres volées à un peintre parisien, que chacun peut reconnaître comme étant Picasso.@Electre2023

Né à Constantinople en 1519, Elie Soriano a émigré à Venise, troqué son nom pour celui d'Elias Troyanos, fréquenté les ateliers du Titien et fait une carrière exceptionnelle sous le nom de Turquetto : le petit Turc, comme l'a surnommé le Titien. M. Arditi retrace le destin de cet artiste né Juif en terre musulmane, nourri de foi chrétienne et traîné en justice pour hérésie. Prix Jean Giono 2011. ©Electre 2019

Une jeune fille de 10 ans, Mona, n'a plus que cinquante-deux semaines avant de devenir aveugle. Son grand-père décide de consacrer chacune de ces semaines à lui faire voir un chef-d'oeuvre différent de l'histoire de l'art et de l'accompagner d'une pensée philosophique afin de préparer Mona à la perte de sa vue. Jaquette dépliable avec les 52 chefs-d'oeuvre de l'ouvrage reproduits.@Electre2024

Ludwig, officier de l'armée allemande, ne vit que pour l'art. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il obtient un poste à Paris dans un service consacré à la confiscation des oeuvres d'art. Protégé par Goering, il fait preuve d'une grande exigence et reste indifférent à la nature du régime qu'il sert, jusqu'au jour où il croise le chemin de Lucette, une résistante. Premier roman. ©Electre 2019

Pendant trois ans, l'auteure a enquêté sur une collection de tableaux ayant appartenu à son grand-père, perquisitionné par les nazis en 1942. Dans ce récit, qui court de l'Occupation à aujourd'hui, elle raconte ses découvertes, ses batailles et ses déceptions.@Electre2020